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 (M) DAVE FRANCO → tiens moi la barbichette.

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Madelyn Bushnell

Madelyn Bushnell

MESSAGES : 119
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(M) DAVE FRANCO → tiens moi la barbichette. Empty
MessageSujet: (M) DAVE FRANCO → tiens moi la barbichette.   (M) DAVE FRANCO → tiens moi la barbichette. Icon_minitimeMer 29 Juin - 10:53



(c) crédit

Antonio (mais c'est négociable) pour le reste au choix.

vingt cinq ans date de naissance lieu de naissance résident (en ce que vous voulez) personnel dave franco, qui peut se négocier!

'' Le coeur chez les femmes est un sexe au ralenti ; et leur sexe, un coeur qui bat. ,,



WHAT 'BOUT YOU.

ADJ. ADJ. ADJ. ADJ. ADJ. ADJ. ADJ. ADJ.
→ Ici, place à l'histoire et au caractère du scénario.



ET DANS 150 ANS.

→ Je venais tout juste d'ouvrir les yeux et je ne serais vous dire où je me trouvais et quelle heure il était. J'avais comme l'impression de mettre endormie depuis un siècle ; et cela faisait bien longtemps que je n'avais pas dormi aussi bien. Il faut dire, qu'en ce moment, avec le boulot à l'hôpital, je n'avais plus le temps pour dormir, pour tout avouer, je n'avais même pas le temps d'y penser. Il fallait toujours être présente, nous étions en effectif réduit, les vacances venaient de commencer, et mes collègues partaient une à une en vacance. Pas de chance, j'étais la dernière, enfin je n'allais pas me plaindre, c'est bien moi qui l'avait choisi. Mais l'économie n'étant pas au plus haut en ce moment, il était impossible pour l'hôpital d'embaucher une remplaçante pour l'été, de ce fait, les victimes c'étaient nous, nous devions fournir deux fois plus de boulot... Cette sieste m'avait fait extrêmement de bien, je me sentais revivre ; jusqu'au moment, où je sentis la présence de quelqu'un collé contre moi. «Putain... » Je venais de comprendre, mes neurones avaient fait le lien enfin : j'avais sûrement dû m'endormir au côté d'Antonio, un ami. Pourquoi Antonio ? Car ayant fait le tour, il n'y en avait pas trente-six mille autres avec qui j'aurais pu me retrouver dans un lit, côte à côte en train de dormir... « ooooh merde » J'étais un peu bouleversée, Antonio et moi entretenons une relation purement sexuelle et malgré quelques sentiments qui faisaient leur apparition depuis peu, nous avions pris pour habitude, de se donner rendez-vous, de coucher ensemble et de se quitter aussitôt. Antonio, il avait un corps de rêve, je dois l'avouer, mais il avait quelque chose en plus, qui me faisait littéralement craquer. Bizarrement, nous avions convenu d'un commun accord de ne jamais tomber amoureux l'un de l'autre et pourtant, j'ai comme l'impression que nous étions en train de dérober la règle... «Antonio ... » Je crois qu'il dormait encore, mais il n'allait pas tarder à être réveillé. Je commençais alors à me décaler, lui enlevant un à un ses membres entourant mon corps. Non pas que son corps me gênait, je le connaissais dans les moindres détails, mais c'était la situation qui devenait gênante... « mmmh ? » Antonio venait de me donner un signe de présence, il était bel et bien là et c'était ça le pire... je crois que j'aurais préféré que ce ne soit pas lui au final... je me sentais dépassée par les émotions, je ne comprenais plus rien... mais son état de loque encore endormi me mit hors de moi ; et il en fallait peu «ANTONIO ! » Merde à la fin, j'étais sérieuse, j'allais lui faire comprendre. Arrivant enfin à me défaire complètement de lui, je me laissai tomber de tout mon long sur le lit, le dos contre le matelas, préférant fermer les yeux que de voir cette misère... ou du moins Antonio... « mmh ? Quoi ? » Il avait l'air serein, lui pour le coup, ses neurones n'avaient pas encore fait le lien et il était encore au pays de Candy je suppose. J'ai soupiré, je crois que j'ai même soupiré plusieurs fois de suite, j'étais en colère, en colère après moi-même, après nous deux ! « On s'est endormis... » Je marquai un temps d'arrêt... il n'avait pas encore bien l'air d'être conscient, mais peu importe. « ...et on était blottis l'un contre l'autre » J'avais presque envie de vomir, rien que d'y penser me donner des frissons, mais ce n'était pas des frissons de jouissance ou de bonheur, plutôt de dégoût si puis-je dire, même si vous l'aurez compris ce n'était pas Antonio qui me dégoûtait... bien au contraire ! « ah oui ? » Oh mon dieu ce que je pouvais détester son air de je m'en foutisme, surtout au réveil c'était juste une horreur. Je crois que je lui aurais dit qu'un oiseau venait de chier sur la vitre ça lui aurait procuré le même effet.. .« ouaai ! » c'était sorti sans vraiment que je le contrôle. « On était blottis l'un contre l'autre ... avec nos vêtements sur nous... et ça tu vois c'est dix fois pire » Je n'avais pas tort. Si je me tracassais de la situation, c'est parce que justement on avait nos fringues ! Autrement dit, on avait pas couché ensemble, on s'était juste endormi côté à côté comme un couple normal pouvait le faire ! Mais nous n'étions pas un couple, c'était la chose qu'on redoutait le plus au monde. « oh ça craint » enfin il fit mine de présence... il se redressa du lit et se mit en tailleur... je crois qu'il osait même plus me regarder, ça tombe bien, j'en avais pas envie non plus ! « Blottis et habillés ! » Oui, il était en train de se moquer de moi, certes mais j'en avais rien à faire, tout ce que je voulais je crois à présent c'était trouver une solution... et peut-être malheureusement mettre un terme à cette relation basée sur le sexe, ça prenait trop d'ampleur, nous n'étions plus vraiment capables de nous contrôler et les sentiments étaient bel et bien présents, une chose inévitable mais pas plausible ! Hors de question. Avant de me relever à mon tour, j'ai plaisanté (enfin oui à ma façon) « c'est paas bien » Cela fit sourire puis rire Antonio, mais personnellement j'arrivais même pas à rigoler de la situation. Je l'interrompis immédiatement « qu'est-ce qu'on va faire ? » J'étais à présent à la même hauteur que Antonio et à en voir sa réaction, j'ai comme l'impression qu'il ne s'attendait pas à une telle remarque... peut-être que pour lui tout est normal, mais ça ne devrait pas... bon d'accord ce n'est pas le genre à se prendre la tête et moi non plus d'ailleurs, mais bon, il y avait des limites et là elles ont été dépassées. « à propos de quoi ? » A propos de quoi ? Il plaisantait ? Cela faisait bien un quart d'heure que je lui expliquais le soucis et il n'avait toujours pas compris ? Je savais qu'il pouvait être parfois long à la détente, mais à ce point, j'en avais rarement fais les frais ; il devenait particulièrement chiant. « On devrait peut-être arrêter... pendant quelque temps » J'avais été droit au but et tant pis si j'avais pu le choquer ou toute autre chose. C'était après tout, la vérité, si nous n'étions plus capables de baiser sans faire intervenir les sentiments amoureux alors valait mieux tout arrêter avant que cela prenne plus de place dans notre vie. On était ni l'un ni l'autre intéressé pour se mettre en couple, on avait pour une fois les mêmes idées sur la vie à deux, on était encore bien trop jeunes. « Non, je ne suis pas d'accord non ! » Fallait bien qu'il vienne contredire ma proposition, ça m'aurait d'ailleurs étonné... mais j'avoue que je n'avais pas d'autres issus, j'avais beau chercher, je ne voyais pas comment faire autrement. Merde après tout, on était collé l'un contre l'autre tout habillé ! J'aurais bien plus apprécié s'il avait été entièrement nu -ce qui aurait été logique ! Bien plus logique... « Ouai ben j'en sais rien moi... couche avec une autre ! » Tiens, voilà qui est une autre bonne idée vous ne trouvez pas ? Il allait bien finir par m'oublier au final ! Et de mon côté de me chargerais de faire la même chose... Parce que après tout, si nous nous voyions que pour le sexe, cela veut bien dire qu'on peut tout arrêter du jour au lendemain et puis je ne me fais pas de soucis, Antonio trouvera une autre, il n'a qu'à regarder autour de lui le nombre de nanas qu'il a et c'est bon c'est le pactole ! « t'es sérieuse ? » Je ne pris même pas le temps de réfléchir plus longtemps, oui je l'étais, oui il avait ma permission, non ça m'enchantait pas plus que ça, mais j'allais prendre sur moi et ne surtout pas craquer. « Ouiii vas-y ! tu vas dans le bar à côté et tu couches avec une inconnue ! » Bon malgré tous mes efforts, il ne me croyait toujours pas, il ne m'avait peut-être jamais vu sous cet angle légèrement catégorique, mais il n'y avait pas d'autres choix, où alors il n'avait qu'à trouver la solution s'il n'approuvait pas les miennes ! « tu rigoles ? » Je soupirais pour la énième fois, mettant ma tête entre mes mains. « non. » Antonio répliqua aussitôt : « c'est du délire ! » Certainement... mais ça devait se faire... Antonio se leva, je crois qu'il était en train de ramasser ses affaires, entre autre son peignoir, je ne sais pas ce qu'il faisait dans ma chambre par terre mais, à vrai dire je m'en fichais royalement, ce n'était plus mes affaires, ça ne l'a d'ailleurs jamais été. Il m'avait un peu perturbé et je venais tout juste de réaliser que dans un quart d'heure je devais me pointer au boulot. « Tu m'as emmené au restaurant Antonio... le plus romantique de la ville... t'imagines ?! » En effet, ça avait d'ailleurs été une excellente soirée ; mais nous avions joué au petit couple parfait, de toute manière il n'y avait que ça dans ce restaurant, je pensais réellement que ce n'était qu'un jeu et qu'on ne recommencerait pas, je crois qu'enfaîte j'avais peur pour la suite, cette relation nous convenait plus... on attendait finalement peut-être plus, sans réellement être prêt ! «Antonio... il y a vraiment urgence là! » Il était entièrement debout, il était aussi carrément sexy et il me donna presque un orgasme à distance, je ne compris pas ce qu'il se passait. Mais il était aussi terriblement énervé, je crois qu'il était autant blasé que moi. « Tu veux que je m'en aille ? » C'était un peu ça... enfin non mais... au final oui valait mieux... pour nous deux... « oui »... je sais que je venais de dire, ou de faire une connerie, ou les deux peut-être, j'en savais trop rien... « et que je couche avec une femme, n'importe laquelle ! » Je baissai les yeux. « ouai.. » ... « c'est-à-dire juste pour le sexe ? » Il en avait pas marre à la fin ? Qu'est-ce qu'il croyait ? Que je lui demandais d'aimer une autre femme ? Non c'était encore plus simple, je lui demandais juste de faire fonctionner son sexe, alors qu'il ne vienne pas me faire chier. « C'EST CA ! » Je venais de crier, mais fallait que ça sorte. Merde à la fin, il passait pour l'idiot de service quoi ! Je rajoutais « et j'irais coucher avec quelqu'un moi aussi » C'était peut-être le mot de trop, mais maintenant c'était dit et je pouvais m'en vouloir qu'à moi... Sa réponse me fit ni chaud ni froid « ... okay » il prenait la porte, comme j'avais imaginé, il ne m'attendait pas, je crois qu'il n'y avait même pas songé « ... je t'assure ça nous fera du bien à tous les deux » Il allait pour fermer la porte et s'exclama d'un ton plus qu'ironique, qui me fit presque mal « ouai super ! » il s'arrêta pas plus de deux secondes « super, bravo, bien joué ! » J'en avais les larmes aux yeux et pourtant je n'étais pas le genre à pleurer aussi facilement, surtout pour un mec... mais là j'en avais le cœur noué, j'aurais peut-être pu lui dire que je l'aimais, que si je faisais ça c'est que j'avais peur et que je ne voulais pas le perdre, mais j'en ai perdu mes moyens et au final j'ai peut-être tout gâché... «Antonio... » Trop tard. J'entendais la voiture sortir du garage...



WHAT DID YOU EXPECT ?

→ Ici à vous d'écrire tout ce que vous attendez de la personne qui prendra votre scénario.


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(M) DAVE FRANCO → tiens moi la barbichette.

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